Liège, cité épiscopale millénaire, métropole économique et culturelle de Wallonie s’est hissée, après dix ans de croissance, au rang de deuxième port fluvial du continent.
Ancienne capitale d’une principauté indépendante pendant plus de huit siècles, métropole active, centre d’art prestigieux, Liège est tout en contrastes. Ville touristique, ville accueillante, ville de passage à l’intersection de trois frontières, Liège se flatte d’être décrite comme la cité du bon accueil.
La « Cité Ardente » renferme un patrimoine culturel et architectural de première importance: musées, théâtres, opéra, orchestre philharmonique, festivals, mais aussi son centre ville commerçant, son marché dominical (le plus grand d’Europe), ses cafés animés et ses restaurants réputés.
le marché de la Batte
Pourtant, loin de souffrir de la frénésie des grandes métropoles, Liège et ses habitants sont privilégiés par la nature, grâce au fleuve et aux vertes collines dont les douces ondulations équilibrent la vie. Dans le centre historique et commercial, à dimension humaine, les Liégeois cultivent un art de vivre où l’hospitalité spontanée n’est pas une formule creuse : on y flâne, de terrasse en magasin… Ardeur à l’ouvrage et créativité ne sont-elles pas favorisées par un bon cadre de vie et une attention soutenue aux relations sociales et interculturelles ?
les galeries St Lambert
Premier port intérieur belge et troisième port intérieur d’Europe (21 millions de tonnes en 2007), idéalement localisé au centre d’un réseau dense de communications multimodales, le Port autonome de Liège (PAL) assure la gestion de 31 zones portuaires (366 hectares mis à la disposition des utilisateurs de la voie d’eau).
Le port de Liège
La Place St Lambert
Cet endroit, autrefois, n’est qu’une petite île verdoyante au milieu des méandres capricieux de la Meuse. Des fouilles archéologiques y attestent l’existence d’un site préhistorique, puis d’une villa romaine, et enfin d’un hameau à l’époque franque, au tout début du Moyen Âge.
la place St Lambert
Du XIème au début du XIXème siècle, la place n’existe pas réellement puisqu’elle est occupée par diverses cathédrales successivement détruites et reconstruites face au palais.
Les multiples péripéties de la révolution liégeoise (1789-1794) aboutissent à la fin de la principauté de Liège et à son incorporation, en 1795, à la république française.
La destruction de la cathédrale Saint-Lambert débute dès 1794, les révolutionnaires voyant en elle le symbole de la puissance abusive de l’ancien régime.
la cathédrale St Lambert au milieu du 19e siècle
Le Palais des Princes-Evêques
C’est au Prince-Evêque Erard de LA MARCK que l’on doit, dès 1526, la reconstruction du palais, fortement endommagé en 1468 par les troupes de Charles le Téméraire et complètement ravagé par un incendie en 1505. La façade, de style Louis XIV-Régence, date cependant du XVIIIème siècle, un nouvel incendie ayant sévi en 1734.
Dans la Belgique indépendante d’après 1830, le palais est affecté aux services de la justice. En 1849, une nouvelle aile, dans le même style que l’ensemble, est ajoutée pour y loger les bureaux du gouvernement provincial :
le palais des princes Evêques en 1734
La cathédrale
La cathédrale Saint-Lambert ayant été détruite dès 1794 à la suite de la révolution liégeoise et de l’occupation française, c’est la collégiale Saint-Paul qui prend le rang de cathédrale dès le début du XIXème siècle (de 1801 à 1803 selon les sources).
Au départ , l’église Saint-Paul est une des sept collégiales fondées au cours des Xème et XIème siècles, au début de la principauté de Liège (les six autres étant Saint-Pierre, Sainte-Croix, Saint-Jean, Saint-Denis, Saint-Martin, Saint-Barthélemy).
Saint Paul
L’édifice roman d’origine, bâti au XIème siècle sous l’épiscopat d’Eracle, est saccagé en 1212 par les armées branbançonnes. Sa lente reconstruction dans le style gothique durera jusqu’au XVIème siècle.
C’est en 1811-12 qu’on élève la tour d’un étage à fenêtres ogivales, le tout surmonté d’un clocher dont la flèche atteint nonante mètres. Quatre clochetons sont ajoutés pour rappeler l’ancienne cathédrale Saint-Lambert.
Le trésor
Le Trésor de la cathédrale Saint-Paul est un des hauts lieux du patrimoine artistique de Liège. Il est l’héritier de celui de la cathédrale Saint-Lambert, encore que les pièces qui ont survécu à la période révolutionnaire soient en petit nombre. Trois reliquaires fameux sont à mettre en exergue : celui de la Vraie Croix, celui de Charles le Téméraire et celui qui abrite le crâne de saint Lambert, martyr et protecteur de la Cité. Plusieurs ivoires médiévaux méritent que l’on s’y attarde. Le Trésor a bénéficié d’un agrandissement de ses locaux et d’une nouvelle muséographie.
Reliquaire téméraire
Entièrement rénové et parfaitement intégré dans les annexes claustrales, le Trésor de la cathédrale de Liège présente sur trois niveaux huit nouvelles salles d’exposition thématique, véritable parcours à travers l’art et l’histoire de l’ancienne principauté de Liège : les plus belles orfèvreries (buste-reliquaire de saint Lambert, reliquaire de Charles le Téméraire, et de la sainte Croix), ivoires byzantin et mosan, manuscrits, sculptures, peintures (XVe-XVIIIe siècles) et exceptionnelles collections de textiles de haute époque et ornements liturgiques; en alternance, les plus beaux manuscrits et imprimés de l’université de Liège et du Séminaire.
la châsse St Lambert dans la cathédrale (1896)
Tchantchès
Le personnage légendaire de Tchantchès, Tchantchès (traduction wallonne de «François») vient au monde à Liège, en août 760: il apparaît de façon miraculeuse entre deux pavés du quartier d’Outremeuse, en braillant une chanson à boire:
« Allons, la Mère Gaspard, encore un verre, il n’est pas tard »…
Il s’éteint à l’âge de quarante ans, après une franche ripaille, échappant ainsi à la vieillesse.
Il reste, dans le tradition locale, le prototype du vrai Liégeois, mauvaise tête, esprit frondeur, grand gosier, ennemi du faste et des cérémonies, farouchement indépendant, mais cœur d’or, et prompt à s’enflammer pour toutes les nobles causes.
Depuis 1948, existe un Musée Tchantchès où sont exposés, parmi les souvenirs du quartier et de la « République libre d’Outre-Meuse » les costumes, médailles, diplômes et autres marques d’hommage que « le plus vieux citoyen de Djus-d’la » reçoit, à l’instar de Manneken-Pis.
L’Opéra royal de Wallonie
Le Théâtre royal a été construit par l’architecte Dukers de 1818 à 1822 sur l’emplacement de l’ancien couvent des dominicains.
Il reste le lieu incontournable de tous les spectacles classiques qui passent par Liège.
l’Opéra Royal de Wallonie
Le Perron
Face à l’Hôtel de Ville, sur la Place du Marché où le peuple, jadis, se rassemblait pour l’élection de ses chefs, se dresse fièrement le monument liégeois le plus populaire : le Perron.
On sait qu’un perron, pour une maison commune, est un signe de puissance, à l’imitation des marches qui conduisent au château d’un seigneur et d’où sont dictées les volontés. Les Liégeois ont voulu idéaliser leur perron. Non seulement la maison commune possède son perron, mais un emblème représente l’indépendance de la cité et il est, lui aussi, hissé sur un perron.
Au centre de la place, cette fontaine remplace l’antique perron emporté par Charles le Téméraire après le sac de 1468.
Hors château
La rue Hors-château est toute proche de la place Saint-Lambert, à Liège. Située aux pieds des coteaux de la Citadelle, elle est particulièrement connue et appréciée, non seulement des liégeois mais aussi des touristes, pour les nombreux endroits pittoresques auxquels elle donne accès : musée de la Vie Wallonne, cour des Mineurs, escaliers de Bueren, impasse des Ursulines et sentier des coteaux, cour Saint-Antoine, …
Hors château
Georges Simenon
En vendant plus de quatre cents millions de livres, traduits dans une cinquantaine de langues, Simenon est, avec Hergé et Magritte, l’un des rares Belges à avoir envahi l’imaginaire planétaire. Le succès l’a couronné sans reconnaissance préalable par la critique ou l’université. C’est dire que le public l’a en quelque sorte plébiscité, trouvant ou retrouvant dans Lettre à mon juge, La neige était sale ou Le petit saint, le simple et bienfaisant plaisir de lire sans contrainte d’aucune sorte – culturelle, sociale ou économique.
Georges Simenon, avec Jules Verne peut-être, est l’auteur francophone le plus traduit et le plus lu dans le monde – et sur tous les continents. Son œuvre est une mine inépuisable pour les cinéastes, et singulièrement pour la télévision. Encore faut-il aussitôt ajouter que cette dernière, par ses feuilletons presque exclusivement consacrés à Maigret, réduit, pour le grand public, l’œuvre immense à l’une de ses composantes. Simenon l’a dit lui-même : « Maigret m’a fait beaucoup de tort. » Sur plus de quatre cents romans, sans compter les centaines de contes et les reportages, les Maigret sont au nombre de septante-sept.
Georges Simenon
La Batte
Au milieu du XVIème siècle, l’autorité communale décide d’aménager une « batte » (en wallon liégeois, ce mot signifie « digue » ou « quai ») le long de la rive gauche de la Meuse, pour créer un port fluvial et ouvrir le quartier au commerce.
La halle aux viandes est bâtie en 1546 ; elle est le siège de la compagnie des bouchers, un des trente-deux bons métiers de la principauté de Liège.
Dès cette époque, l’endroit accueille un marché aux bestiaux ; puis ce sont les marchands de fruits et légumes qui y dressent leurs tréteaux, rejoints bientôt par des saltinbanques, bonimenteurs et autres camelots.
Quai de la Batte
La Meuse
Liège fut et est fille de Meuse.
Ce fleuve a façonné le Liégeois, lui a donné le sens du labeur avec sa force motrice, le sens du large avec sa route et ses ramifications, le sens de la beauté en rehaussant l’esthétique de ses vallées.
Voie de transport essentielle, la Meuse enlève enfin ses corsets de béton pour devenir une route touristique.
la Meuse à Liège
Le pont de Fragnée
Le pont de Fragnée est, sans nul doute, l´héritage le plus prestigieux de l´Exposition universelle de 1905. Il allie la technique de l´ingénieur et la créativité de l´artiste. Une proposition de classement a été introduite le 1er avril 1992. Depuis lors, le pont de Fragnée est l´objet de soins attentifs portant, à la fois, sur le maintien en bon état de sa structure et de sa chaussée, et sur la restauration de sa décoration.
Le Pont de Fragnée traverse la Meuse au niveau de son confluent avec l’Ourthe, juste au départ de la Dérivation. Il relie le quartier de Fragnée et celui des Vennes. La partie dans son prolongement passant sur l’Ourthe est appelée le Pont de Fétinne.
le pont de Fragnée
Le Pont Kennedy
Terminé en 1837 après trois années de construction, une de ses arches s’effondre six mois à peine après son ouverture. L’ouvrage est donc démoli pour être remis sur pieds en 1843. Ce nouveau pont est très simple, simple certes mais solide et c’est peu avant de souffler ses cent bougies qu’il sera dynamité, en 1940.
Il reste aujourd’hui un pont relativement fréquenté avec un passage quotidien approximatif de 15.000 véhicules.
le pont Kennedy
Le pont des Arches
Reliant le quartier d’Outremeuse au centre-ville, le pont des Arches est un ancêtre à Liège qui nous vient directement du Moyen Âge… Reconstruit à de nombreuses reprises suite à des crues ou des conflits, il fut baptisé Pont de la Victoire en 1794 avant de reprendre son nom original en 1815.
le pont des Arches
Le pont d’Amercoeur
Pont traversant la Dérivation et reliant Outremeuse à Amercœur.
Ce nouveau pont comportait un tablier de bois, mais, en 1876, la société John Cockerill fut choisie pour effectuer le remplacement du tablier de bois par une structure métallique.
Lors du premier conflit mondial, le pont d´Amercoeur, bien que placé sur la route de l´Allemagne, ne fut pas dynamité. Les Allemands s´en emparèrent donc le 7 août.
Amercoeur en 1861
Le carré
Centre du quartier de l’île, le Carré était depuis le 19ème siècle le quartier chic de la ville, l’endroit dans lequel « il fallait être vu ». L’histoire se répète encore et toujours.
Les rues du Pot d’Or, Saint-Adalbert, Saint-Jean-en-Isle, En Bergerue et Tête de-Boeuf constituent un enchevêtrement de ruelles qui font du carré un quartier à part.
le carré
Les Olivettes
Si vous passez par Liège, ne quittez pas cet endroit sans avoir passé quelques heures au jardin des Olivettes, un des derniers cabarets chantant dans la vieille tradition.
C’est un lieu de rencontre de tous âges et de toutes les couches sociales, plein de chaleur humaine, où chacun se laisse prendre l’ambiance qui y règne.
Un bout d’estrade, un piano, un micro y accueillent quiconque veut chanter, amateurs où professionnels.
L’humour, la fantaisie, le folklore, le Bel Canto sont tour à tour à l’honneur. Chansons actuelles, vieilles et nouvelles chansons françaises, romances et ritournelles wallonnes y vivent en parfaite harmonie.
Outremeuse
L’âme de Liège est à saint Lambert. Mais son cœur bat en Outremeuse. C’est dans le vieux quartier duDju-d’là qu’on parle encore wallon le mieux, à l’ombre de l’église Saint-Pholien et de la Caque qui a abrité la jeunesse de Simenon.
Outremeuse
C’est là aussi qu’on fête le 15 août, la fête de la sainte Vierge, de manière si accueillante et binaméeque de célébration locale, elle est devenue une attraction nationale voire internationale !
Musée Grétry
Le petit immeuble de type liégeois Louis XV agrémenté d’une annexe de même style, est la maison natale du compositeur André Ernest – Modeste GRETRY.
Plusieurs instruments de musique d’époque sont également présentés (piano « muet » de travail, violons, « serpent », pochette « liégeoise »).
Le deuxième étage renferme une riche bibliothèque.
le musée Grétry
Musée de la Vie Wallonne
Le plus riche musée d’ethnologie de Wallonie est situé dans le cadre d’un ancien couvent de frères mineurs, bâtiment de style communément appelé « Renaissance Mosane ». Il présente des objets et documents se rapportant à la vie quotidienne et aux métiers traditionnels des Wallons.
le musée de la vie wallonne
Coronmeuse
Quartier du nord de la ville de Liège, au caractère ouvrier. Les Halles des foires de Liège et le parc Astrid y sont situés.
Coronmeuse
La Cristallerie du Val Saint-Lambert
Dès le XIIIe siècle, les moines cisterciens s’étaient implantés sur le sol sérésien. Le choix de Seraing par les moines d’une part et les princes évêques de l’autre pour y ériger une résidence, indique que la contrée jouissait, à l’époque, de toutes les beautés que la nature a prodiguées au sol wallon avant que l’industrie ne l’eut altéré.
Le maître-verrier cueille le cristal en fusion et lui donne la forme de base désirée. La matière en fusion est cueillie au bout d’une canne creuse. Le souffleur insuffle, au travers de sa canne, de l’air par petites quantités. Au contact de la chaleur, l’air se dilate et la boule de cristal grossit. Afin de maintenir à la boule à forme sphérique, l’artisan imprime à la canne un mouvement de rotation permanent. La forme finale sera obtenue par soufflage dans un moule.
Il ne reste plus actuellement que 140 ouvriers au Val-Saint-Lambert. Force est de constater que l’ancien patrimoine historique et architectural des cristalleries a subi durant de nombreuses années une lente mais véritable dégradation due au ralentissement économique, au manque de moyens pour l’entretenir mais aussi, sans doute à cause de l’indifférence de tous face à l’importance que représente cet ensemble d’une rare beauté.
la coupe des neuf provinces
La ville recèle de très nombreux trésors, cachés ou non, à explorer sur ses collines, en son centre, ou encore … sous terre.
Insolite en soi, l’Archéoforum l’est aussi pour la durée des fouilles qui l’ont vu naître : elles furent entreprises sur le site de l’ancienne cathédrale Notre-Dame et Saint- Lambert de 1907 à 2003, année de son inauguration, soit durant près d’un siècle !
L’Archéoforum dévoile une facette insoupçonnée de l’histoire de la Cité ardente.
Ecrin de métal et de béton, il protège les découvertes faites sous la dalle de la place, les traces du passage ininterrompu de l’homme préhistorique jusqu’à l’occupation contemporaine.
Les murs d’une villa romaine sont imbriqués dans les phases de construction successives de la cathédrale Saint-Lambert, aujourd’hui disparue.
l’Archéoforum
La Tour des Vieux Joncs
A flanc des coteaux de la Citadelle, elle domine la ville de sa stature imposante.
Mentionnée déjà au XVe siècle, elle rappelle la présence à Liège d’une maison de l’ordre teutonique relevant de la Commanderie des Vieux Joncs, près de Tongres. Témoin toujours vivant de la vocation à la fois militaire et religieuse de l’ordre, dont l’importante propriété s’étageait en terrasses faites de jardins et de vignobles idéalement exposés au midi, car la viticulture fut pratiquée jusqu’à la fin du XVIIIe siècle à Liège.
Tour des vieux joncs
L’Impasse des Ursulines se trouve au pied de la Montagne de Bueren, comme surgie du fond des temps.
Ses premiers bâtiments furent construits au XVIe siècle et comprenaient une maison, le bâtiment central et une brasserie.
Impasse des Ursulines
L’escalier de Bueren avec 373 marches à franchir … et du souffle en réserve. Construit en 1875, il relie la Citadelle à la rue Hors Château et rappelle la bataille des 600 Franchimontois.
Les coteaux de la Citadelle, ce sont plus de 60 monuments et cinq sites classés, autant de témoins du paysage ancien de la ville.
Ce verdoyant paysage est à deux pas du centre agité de la Cité ardente et offre collines, venelles, sentiers, terrasses et vergers.
La gare TGV, symptôme de mégalomanie pour les uns, elle est la fierté de la ville pour les autres. La couverture de la nouvelle gare est un monumental dôme de verre et d’acier de 200 m de longueur et de 35 m de hauteur qui couvre les voies et la nouvelle infrastructure de béton blanc. Le volume de la voûte d’arcs fait de la gare des Guillemins l’une des plus spectaculaires d’Europe et la seule avec un accès autoroutier direct.
Le cinéma à Liège
Dix-sept maisons de production cinématographiques, des sociétés spécialisées et des techniciens de haut vol, des artistes libres, créatifs et exigeants, des réussites médiatiques retentissantes sur le plan international … Le cinéma dans la Cité ardente explose et déborde d’énergie. Sa vitalité et son rayonnement sont une démonstration éclatante du légendaire savoir-faire liégeois.
Gastronomie :
Boulets, frites et blanc de bœuf
Spécialité liégeoise par excellence, cette «boulette » est composée du mélange haché de plusieurs viandes (porc, bœuf, agneau), d’oignon, de raisins de Corinthe, de chapelure, parfois de pruneaux. Le boulet, qui possède sa confrérie à Liège, est servi sur une sauce à base de sirop de Liège (une mélasse issue de la cuisson de jus de pommes et de poires) avec de vraies frites et une salade.
les boulets liégeois
le café liégeois
L’aéroport de Bierset
L’aéroport de Bierset est situé au sud-ouest de Liège, dans l’arrondissement de Grâce-Hollogne.
L’aéroport dispose de deux pistes d’atterrissage de 2 500 et 3 000 mètres de long et peut ainsi être utilisé pour un transport aérien plus important.
L’aéroport de Bierset est le deuxième plus grand aéroport de Belgique, derrière l’aéroport de Zaventem.
La ville de Liège regorge de merveilles, passez y quelques jours, cette ville est un véritable enchantement.
Liège est la troisième plus grande ville de Belgique, derrière Bruxelles et Anvers.