Ils sont la prunelle de mes yeux
L’éclat de mon âme, son reflet radieux
Le secret de ma joie, mon bonheur délicieux.
Je les aime, chacun en égal
Avec leur caractère et leurs qualités
En cette tendresse combien filiale,
De leur petite famille, ils sont tant aimés.
Si jadis ma vie fut parfois difficile à gérer
Mon but a sans cesse été de les préserver
De les protéger des affres du quotidien
De créer entre eux un réel lien.
J’ignore si j’ai réussi mon idéal
Chacun vit à son rythme social
Qu’ils soient heureux est pour moi le principal
En se souvenant de leur mélange de sang natal.
J’ai besoin de l’amour de mes enfants
Et je pense beaucoup à mes parents
Car mon regret est toujours le même
Celui de n’avoir pris suffisamment le temps de leur dire :
« je vous aime ».