• CONFISERIES

    Confiseries : ce n’est pas bon … bon !

    Leurs couleurs vives et leur goût acidulé vous remontent le moral et enchantent vos papilles. Pourtant, mieux vaut les consommer avec modération et pas seulement à cause du sucre qu’ils contiennent et des caries qu’ils peuvent provoquer.

    Gommes acidulées, dragées, pâtes caramélisées font partie du quotidien de nombreux enfants. Faut-il pour autant leur prévoir des plats débordants de confiseries multicolores pour fêter leur anniversaire ? Car les bonbons contiennent souvent des colorants dont certains peuvent provoquer des réactions allergiques ou d’hypersensibilité. Certains d’entre eux sont également soupçonnés d’accroître les symptômes d’hyperactivité chez les enfants.

    CONFISERIES

    Colorants suspects

    Une quinzaine de recherches montrent en effet un lien entre l’augmentation de l’activité des enfants hyperactifs et leur consommation de bonbons contenant des colorants douteux.

    Test Achats a mené l’enquête – Objectif : identifier la présence ou non de quatorze colorants douteur dans des bonbons vendus en vrac. Résultat : la concentration maximale légale en colorants était respectée dans la majorité des échantillons. Mais pour trois d’entre eux, elle était trop élevée et dans un cas, la confiserie contenait même du E123, un colorant interdit dans les bonbons !

    Malgré cette situation plus ou moins correcte, l’organisme de défense des consommateurs souligne un point essentiel : quand un aliment est vendu en vrac, il est difficile de savoir quels ingrédients il contient. De plus, les colorants alimentaires sont également présents dans quantité d’autres aliments que les enfants consomment souvent. Il y a donc réellement un risque de cumul et donc de dépassement de la dose journalière admissible. Le meilleur conseil à donner serait donc : des bonbons oui, mais en petites quantités et les plus naturels possible.

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  • LE RIRE

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    RIEZ, C’EST BON POUR LA SANTE

    Le rire fait partie de la nature humaine. Il désarme, fait fondre la glace et disparaître les convenances ; il crée une complicité et une connivence qui font chaud au cœur et au corps !

    Depuis l’Antiquité, la sagesse populaire a toujours associé le rire au bien-être et à la santé. Certaines études indiquent aujourd’hui que rire est bénéfique à l’équilibre du corps et de l’esprit. Bien sûr, s’esclaffer tous les jours ne permet pas d’abandonner les traitements médicamenteux classiques. Même si certains ont loué les vertus du rire en annonçant avoir réussi, grâce à lui, à se débarrasser d’une pathologie douloureuse. Rire n’est pas la solution miracle à tous les maux.

    Il n’en reste pas moins que le rire est bel et bien un de nos meilleurs allés. Très bon exercice musculaire et respiratoire, il stimule la bonne humeur et la détente, il aide à chasser les émotions négatives, le stress et renforce ainsi nos défenses naturelles tout en réduisant la perception de la douleur. Gratuit, sans effets secondaires indésirables, à la portée de tous : c’est donc un remède à cultiver.

    Gymnastique et oxygénation

    Rire sollicité un très grand nombre de muscles (visage, larynx, cage thoracique, diaphragme, abdomen, jambes …) Il provoque une onde de contractions-décontractions qui libère les tensions (la tête ne tient plus droit, le corps ne tient plus debout, les mains lâchent ce qu’elles tenaient …) En parallèle, le rythme cardiaque s’accélère avant de diminuer de façon durable. Le calibre des vaisseaux sanguins augmente, ce qui fait baisser la pression artérielle et la ventilation pulmonaire s’accroît.

    LE RIRE

    Le rire est aussi un bon moyen de s’oxygéner. Il augmente considérablement les fonctions respiratoires. L’inspiration est courte mais intense, la pause respiratoire beaucoup plus longue et l’expiration plus prolongée et saccadée, ce qui vide plus complètement les poumons. Un peu comme le font les yogis (dans le yoga, la durée de l’expiration et de la pause respiratoire sont bien plus longues que la durée de l’inspiration). En 1995, un médecin indien a d’ailleurs mis au point le « yoga du rire ». Cette technique invite à retrouver le « vrai » rire enfantin. Pas le rire moqueur et cynique mais le rire pur et profond.

    Comment ?

    Par le biais d’un mélange de yoga et d’exercices de stimulation du diaphragme. Artificiel au départ, le rire devient petit à petit plus spontané. D’autant plus facilement que ces exercices sont pratiqués en groupe et que rire est contagieux.

    Au fil des semaines, pratiquer le yoga du rire permettrait ainsi de développer le sens du recul, une vision plus optimiste de la vie et une meilleure confiance en soi.

    Cette propension à faire naître des émotions positives donne au rire la faculté d’agir indirectement sur le bien-être corporel. Selon plusieurs études, il réduirait le niveau des hormones de stress circulant dan le sang et doperait nos cellules immunitaires. Il aiderait aussi à mieux tolérer la douleur. En focalisant l’attention sur autre chose, il permet de l’atténuer. Il déclenche aussi la production d’endorphines (morphines naturelles qui agissent contre la douleur) qui sont des euphorisants naturels. Enfin, il agit également sur le relâchement musculaire. Or, certaines douleurs chroniques sont renforcées par des contractures musculaires.

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  • LA NUIT 

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    Voici le temps de vivre à fond tous les beaux rêves

    Le moment du « moi » profond, de ces heures brèves

    Où tout entier, nous sommes bercés vers l’oubli

    Pour y laisser au lendemain tous les soucis.

     

    Les nuits sont aussi des heures de long sommeil

    Pour être frais et dispos à notre réveil

    Et voler chaque soir dans les bras de Morphée

    En se disant bonsoir, en rêvant d’être aimée !

     

    Avant de s’endormir, tout bas sur l’oreiller

    Les confidences fusent, il faut écouter

    Et la sérénité pour une nuit paisible

    Car le calme et la paix nous seront très sensibles.

     

    Mais la nuit est favorable au temps des amours

    Allongés côte à côte, faisons-nous la cour

    Et prônons la tendresse à la tombée du jour

    Les mots doux sans cesse se diront tour à tour.

     

    Et bonne nuit à vous ô peuple de la terre

    Car la lune sur nous est emplie de mystère

    Veille avec les étoiles sur notre humble vie

    Pour que l’amour dévoile puissance infinie.

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  • BARCELONE (2013) Espagne

    Depuis plus d’un siècle, la ville abrite les rêves des grands bâtisseurs, de Gaudi à Nouvel.

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    Quartier de Poblenou

    Conçue par Jean Nouvel, la Torre Aghar, ou « tour-concombre », s’impose comme l’icône architecturale de la Barcelone du XXIe siècle. Haute de 142 m, elle a été inaugurée en 2005.

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    Passeig de Colom (promenade de Colomb)

    Réalisée en 1989, la « Gamba géante » brandit ses pinces en bordure du vieux port. Longtemps laissé à l’abandon, ce front de mer a été entièrement réhabilité à l’occasion des Jeux Olympiques de Barcelone, en 1992.

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    Marché de la Boqueria

    Situé à deux pas de la célèbre avenue des Ramblas, c’est le plus coloré de la ville. Edifiée à la fin du XIXe siècle, cette immense halle de style Art Nouveau accueille plus de 200 commerces, qui regorgent des meilleurs produits de la mer et du terroir catalan.

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    Sagrada Familia

    Chef-d’œuvre posthume d’Antoni Gaudi, cette église titanesque est devenue l’emblème de Barcelone.

    BARCELONE (2013) Espagne

    Débutée en 1882, sa construction se poursuit toujours. Seules la façade de la Nativité et ses quatre tours élancées sont définitivement achevées.

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    Dans la Cathédrale.

    Gaudi, inspiré par les séquoias d’Amérique, a voulu que les colonnes de la nef centrale se ramifient comme des arbres géants au niveau de la voûte. La Sagrada devrait accueillir plus de 13000 fidèles et un chœur de 1500 chanteurs, installé dans les tribunes des bas-côtés.

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    Les pinacles revêtus de mosaïques ont été réalisés par le sculpteur japonais Atsuro Sotoo. Fasciné par La Sagrada, l’artiste a ainsi déjà consacré trente ans de sa vie à continuer le rêve de Gaudi.

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    Ville Haute, ville Basse

    Barcelone ; il y a celle des riches et celle des pauvres.

    Un cœur intrigué par la Rambla

    La célèbre avenue coupe en deux les quartiers populaires du vieux Barcelone. Des remparts les cernaient jusqu’en 1854.

    BARCELONE (2013) Espagne

    Baptisé « Porte de l’Europe », le pont levant relie les quais du vieux port aux terminaux maritimes internationaux. Une cour intérieure du Raval, quartier populaire et interlope fréquenté par l’Inspecteur Mendez, le héros des romans noirs de F.G. Ledesma.

    La plage de la Barceloneta, au nord du vieux port. Ce quartier, autrefois peuplé de marins et de pêcheurs, reste toujours très cosmopolite.

    BARCELONE (2013) Espagne

    BARCELONE (2013) Espagne

     


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  • L’HUILE D’OLIVE

    olivier

    L’huile d’olive est l’un des piliers du régime méditerranéen. Mais il ne faut pas oublier que ce régime inclut aussi des poissons, des fruits et des légumes de saison. En outre, ce mode alimentaire n’a été adopté par la population méditerranéenne que jusqu’aux années 1970, une époque où on travaillait 10 à 15 h par jour, souvent à l’extérieur, au soleil, et où il y avait moins de stress.

    L’huile d’olive est intéressante parce qu’elle contient des acides gras monoinsaturés, qui font baisser le cholestérol LDC (le mauvais cholestérol). Elle contient aussi des antioxydants, qui jouent un rôle dans la prévention des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et du vieillissement. Il est préférable de la consommer crue (vinaigrettes, sauces). Plus on la chauffe, plus ses antioxydants se dégradent.

    Les grands chefs ne cessent de vanter son parfum, les médecins la conseillent à leurs patients pour ses vertus nutritionnelles, les chroniqueuses de magazines féminins évoquent sa place de choix dans le régime crétois.

    huile d'olive

    En France comme en Belgique, la consommation d’huile d’olive a quintuplé en vingt ans. Les Belges en consomment environ 12.000 tonnes par an. Nos principaux fournisseurs sont l’Italie et l’Espagne, puis la Grèce et la France.

    Sur les nombreux produits mis en vente, on peut estimer qu’une bouteille sur 5 contient autre chose que de l’huile d’olive : soit des feuilles, des branches, de l’huile de tournesol, colza ou de soja, de noisettes et d’un assortiment de produits chimiques allant du savon au solvant. Dans certains cas, la proportion d’huile d’olive ne dépasse pas 40 %.

    L'HUILE D'OLIVE

    Varier les huiles ? Oui, car l’huile d’olive est pauvre en acides gras Oméga 3. Certaines marques proposent des mélanges prêts à l’emploi : pour un bon équilibre, choisissez des mélanges riches en Oméga 3.

    Pour bien acheter, entrez dans une boutique spécialisée ou, au supermarché, lisez l’étiquette : elle doit mentionner le pays et la région de provenance, la date de péremption (maximum 2 ans après l’embouteillage), le label de qualité, etc.

    huile


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