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LE MARIAGE DE MA FILLE LE 12 SEPTEMBRE 2015
Antonio, mon petit-fils d'Espagne est revenu pour cette cérémonie très importante de sa maman.
Pour cette occasion, j'ai logé quelques jours à l'hôtel "Best Western" à Liège Guillemins.
sa coiffure était splendide
les préparatifs
La cérémonie communale avait lieu dans la salle du Val Saint Lambert à Seraing, là où mon beau-fils a travaillé toute sa carrière, vraiment un symbole pour Joseph.
le groupe Country de Seraing dont tous deux font partie était bien présent
L'arrivée de la voiture et du bouquet de la mariée
Au bras de son fils Antonio, la mariée entre à la salle des mariages
la signature des mariés
et des témoins, Antonio et Lila.
l'échange des alliances
Sous une pluie de pétales de roses, lancés par la "Country", les mariés sortent de la Salle des Mariages
de nombreuses photos au Château de Jehay. Ici avec les demoiselles d'honneur, Véronique et Patricia.
ensuite après l'apéro, buffet froid et buffet chaud à la salle "Le Grill-On-Vert" à Jehay.
En rouge et blanc, couleurs de la fête
la première danse des mariés : "Hélène" de Rock Voisine
sous une pluie de roses
la country réunie
la superbe pièce montée
J'ai bien aimé le symbole des deux mariés surplombant le gâteau et en-dessous le cheval qui les attendait, vraiment le style "western", bravo !
Ce fut un mariage heureux et inoubliable, on en reparlera souvent.
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EGALITE HOMMES/FEMMES :
peut mieux faire !
Si l’évolution est positive en matière d’égalité, les femmes gagnent toujours moins que les hommes. Et elles s’investissent davantage dans l’éducation des enfants et les tâches ménagères.
Les femmes sont, par exemple, plus actives sur le marché du travail et la proportion de femmes au niveau des organes et des mandats politiques a légèrement augmenté, ainsi que dans la magistrature et la diplomatie. Il y a des différences flagrantes entre les femmes et les hommes dans bien des domaines comme le marché de l’emploi, les pensions, la conciliation vies privée et professionnelle.
Un employé gagne plus qu’une employée. L’écart salarial dans le secteur privé, observé sur la base du salaire horaire brut s’élève à 25 % chez les employés et 17 % chez les ouvriers. L’écart salarial dans le secteur public est moins fort et s’explique par le fait que les salaires sont beaucoup plus réglementés dans l’administration. Comment expliquer ces chiffres ? les femmes sont plus nombreuses dans les secteurs où les barèmes salariaux sont moins avantageux. Les travailleuses sont surreprésentées dans des secteurs comme la grande distribution où le nombre d’emplois à temps partiel est important.
Les stéréotypes ont la vie dure Les postes à responsabilités sont à contrario majoritairement masculins. Les femmes ont moins d’ambition et elles ne supportent pas le stress. Si plus de la moitié des femmes exécutives déclarent être généralement stressées sur leur lieu de travail, il en va de même pour 46 % des hommes assumant des fonctions de direction. L’image que les chefs féminins seraient plus vulnérables ne concorde donc pas. D’autant qu’elles assument probablement la majorité des tâches ménagères, en plus de leur vie active. Un homme au foyer pour 32 femmes Plus de 44 % des salariées travaillent à temps partiel, contre 9,3 % chez les hommes. 95 % des crédits-temps à temps plein pris pour éduquer de jeunes enfants sont pris par des femmes. De façon plus générale, prendre soin des membres de la famille est le motif évoqué par 71 % des femmes contre 16 % des hommes en crédit-temps à temps plein.
Les mamans ayant de jeunes enfants s’en occupent deux fois et demie plus que les papas. Une répartition plus égale des tâches au sein de la famille est une condition nécessaire pour obtenir plus d’égalité dans d’autres domaines.
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LES CHOEURS DE L'ARMEE ROUGE AUX BEAUX-ARTS DE BRUXELLES - 2013
Dans le cadre de l'UTAN, (Université Tous Ages Namur) nous venons d'applaudir et d'admirer "les Choeurs de l'Armée Rouge" ce dimanche 3 mars, au Palais des Beaux-Arts à Bruxelles. Voici quelques photos.
Salle comble et ovation pour ces magnifiques chants, dont certains connus et d'autres moins bien; ambiance extraordinaire par ces choristes et danseurs qui nous ont charmés durant deux heures.
La première formation des Chœurs de l’Armée Rouge comptait 12 soldats artistes et se produisit pour la première fois en 1928 sous la direction d'Aleksandr Aleksandrov, un professeur de musique du Conservatoire de Moscou.
En 1929, l'Ensemble effectua une tournée dans les régions éloignées de l'URSS pour soutenir le moral des troupes affectées à la construction du réseau de chemin de fer de l'Extrême Orient. En 1933, on dénombrait 300 membres répartis en trois unités : un chœur masculin, un orchestre et un groupe de danseurs. Durant la Seconde guerre mondiale, le Chœur donna plus de 1 500 représentations sur les deux fronts soviétiques, pour divertir les troupes prêtes à être déployées sur les champs de bataille, dans les tranchées ou les terrains d'aviation, aussi bien que dans les hôpitaux. « La Guerre sacrée » sera alors l’un des chants les plus importants.
En 1946, après la mort d'Aleksander Aleksandrov, son fils Boris Aleksandrov prit la relève comme directeur musical du chœur, jusqu'au moment de sa retraite en 1987.
En 1978 le Chœur devient « l’Ensemble Académique Alexandrov de Chant et de Danse de l’Armée Russe », dirigé par Viatcheslav Korobko, la chorégraphie étant assurée par Leonid Koulikov.
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LES VIKINGS (Islande) mon voyage en 1999
LES VIKINGS SONT TOUJOURS LA
« Il n’y a pas chez eux de roi, seulement la loi », disait-on des premiers Islandais. Dans les confins arctiques, leurs descendants se battent pour préserver une civilisation originale. Malgré les assauts d’un climat rude, du feu de la terre, des fureurs de la mer.
La côte nord de l’île est très peu peuplée
La plupart des Islandais habitent la côte sud, au climat plus clément que les rivages septentrionaux de l’île. Près de 60 % d’entre eux sont regroupés dans la région de Reykjavik. Isafjördur, dans le nord-ouest, est la seule exception notable à cette règle, une ville qui vit essentiellement de la pêche.
Une éruption volcanique tous les cinq ans
Heimaey, dans les îles Vestman, au large de la côte sud de l’Islande, fut ensevelie en 1973 par la lave de l’Helgafell. Les habitants purent toutefois être évacués à temps et, depuis, la ville a été reconstruite. Dans ce même archipel, une autre éruption a fait surgir du fond des mers, en 1967, une île de 2,8 km2 : Surtsey.
Un pays sans arbres
Du lichen, des broussailles, de l’herbe ; une seule espèce de pomme de terre. Rien ne pousse très haut en plein champ. Il ne reste plus qu’une forêt digne de ce nom, à Egilsstadir, dans l’est de l’île. Le volcanisme et le climat en sont les principales causes. Mais aussi une politique forestière imprudente et … plus d’un million de moutons.
Il reste encore 50000 poneys en Islande
Ils descendent des chevaux amenés par les Vikings. (Petits (1,60 m), mais très résistants, ils ont été, des siècles durant, le seul moyen de transport et de locomotion. Sans eux, la colonisation de l’Islande n’aurait peut-être pas été possible.
Plus de 12000 km2 de glaciers
Islande veut dire « terre de glace ». De violentes tempêtes amènent à ses côtes des blocs énormes détachés du Groenland, distant de 287 kms. Entre autres, il y a dans l’île le Vatna, le plus vaste et le plus célèbre glacier d’Europe (8500 km2). Il n’y fait pourtant pas très froid, et la neige n’y tombe pas souvent.
L’une des plus jeunes terres du monde
L’Islande n’a peut-être pas encore pris ses contours définitifs. Depuis l’ère tertiaire, cette île ne cesse en effet de se transformer à cause de l’activité volcanique permanente. Les Vikings, avec leurs esclaves celtes, fondèrent vers l’an 870 dans cette nouvelle patrie une civilisation originale, où le respect d’autrui et la tolérance jouent, de nos jours encore, un rôle primordial. Après avoir appartenu à la Norvège, puis au Danemark, l’Islande devint une république indépendante en 1944. Le pays s’industrialise, mais l’agriculture, et surtout la pêche, demeurent néanmoins ses principales ressources.
Geyser vient de « geisir », mot islandais
Des sources d’eau chaude naturelle, il y en a partout et pour tous les usages. En pleine ville, ou à la campagne, il ne faut jamais aller bien loin pour trouver un « laugar », bassin tempéré où se relaxer. Ou un « hiver », dont l’eau à 100°C servira à chauffer les maisons. La chaleur qui se dégage des champs de lave est mise à profit pour y faire pousser de nouveaux pâturages à très fort rendement.
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EXPO GOLDEN SIXTIES GARE DES GUILLEMINS A LIEGE
Sous la présidence d'honneur d'Herman Van Rompuy, président du Conseil Européen.
Ma visite du jeudi 4 octobre 2012
Une scénographie spectaculaire sur 6000 m2
Des décors grandioses:
le mur de Berlin
le poste d'observation de l'assassin du président Kennedy
les barricades de Mai 68
le quai de Saint-Tropez avec Brigitte Bardot
l'atelier new-yorkais d'Andy Warhot
le décor lunaire
le couloir de l'hôtel dans la "Grande Vadrouille"
Sur tous les continents s’ouvre une ère de foisonnement, d’effervescence, d’ébullition qui se traduit par une accumulation de transformations spectaculaires et un profond changement dans le comportement des hommes. Ce sont les années de la croissance triomphante et de toutes les révolutions. Durant les Golden Sixties, véritable accélérateur des mutations, un souffle révolutionnaire passe sur l’économie, la culture et la politique.
Les années 60, comme la guerre 40-45, ont constitué un tournant important du 20ème siècle et ont révolutionné notre monde. Alors que leurs parents avaient fêté la Libération, les enfants du baby-boom d’après-guerre vont fêter la liberté et changer la vie.
Une expo sur une période fascinante :
« The Golden Sixties »Sur tous les continents s’ouvre une ère de foisonnement, d’effervescence, d’ébullition qui se traduit par une accumulation de transformations spectaculaires et un profond changement dans le comportement des hommes. Ce sont les années de la croissance triomphante et de toutes les révolutions. Durant les Golden Sixties, véritable accélérateur des mutations, un souffle révolutionnaire passe sur l’économie, la culture et la politique.
La décennie de toutes les révolutions
...bouleverse l’échiquier mondial et modifie en profondeur les rapports de force entre pays, entre communautés, entre classes sociales.
1960-1970, dix années au cours desquelles l’Histoire s’accélère. Dans le monde entier, des hommes se soulèvent, combattent, meurent dans cette lutte pour l’émancipation ou … le pouvoir. Un vent de liberté souffle sur les peuples, mais il sème sur son passage guerres, grèves, troubles, massacres, assassinats …
Des révolutions marquantes...
Des témoins d’envergure...
Une révolution de la communication
Une révolution des moeurs et de la culture...
...balaye les valeurs traditionnelles, la morale rétrograde et les conventions artistiques d’un monde figé et conformiste.
Au début des années 60, on se sent encore à l’étroit dans un monde verrouillé par l’ordre établi et l’on rêve d’une nouvelle société fondée sur l’épanouissement de l’individu. La révolution des mœurs et de la culture reste à faire : elle sera l’œuvre des jeunes, des femmes et des artistes.
Femmes libérées...
La génération hippie...
Musique pop et pop art...
La culture Yéyé...
Une révolution de la technologie et de l'économie...
...engendre la société de consommation pour une nouvelle génération avide de cueillir les fruits de la croissance.
Les Golden Sixties sont des années de prospérité et d’expansion qui se traduisent par la création de multiples emplois, une hausse vertigineuse du pouvoir d’achat, l’émergence d’une classe moyenne nombreuse et dynamique, l’éclosion de la société de consommation et des innovations technologiques, favorisées notamment par les progrès fulgurants de la conquête spatiale.
La vie quotidienne en Belgique...
La course à l’espace...
L’essor de la télévision...
Le cinéma populaire...
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