• UN SOURIRE

    UN SOURIRE

    Sourire d’un enfant pour maman, c’est magique

    Ou d’un adolescent pour son flirt, romantique

    Vient la vie en couple, magnifique, tragique

    Avec son sourire idyllique ou bien cynique

    Et vers notre vieillesse, il devient dramatique.

     

    Joli sourire est aussi le reflet de l’âme,

    Est l’éclat du visage, le cœur qui s’enflamme

    L’expression, le souhait, désir d’une femme

    La gaîté, bonne humeur, l’amour qu’elle proclame.

    « Le sourire garde la jeunesse ».

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  • LES PHOBIES

    LES PHOBIES

    Avoir peur du noir, de l’eau, des oiseaux… au-delà du raisonnable, c’est le propre de la phobie. Aujourd’hui, il est possible de se soigner.

    Une phobie aura intérêt à être soignée si la gêne qu’elle constitue est importante et fréquente.

    Difficile de savoir combien de personnes souffrent de phobies. On estime que 10 à 20 % de la population serait concerné. La phobie peut porter sur un objet (ou un animal) ou sur une situation.

    Pour ne pas devoir vivre cette angoisse, un phobique fait tout pour ne pas se retrouver dans la situation redoutée ; c’est l’évitement.

    Si votre phobie porte sur les voyages en avion et que votre conjoint rêve d’horizons lointains, la phobie sera source de tensions.

    Les phobies peuvent apparaître dès l’enfance. Elles sont en général acquises, au plus tard, au début de l’âge adulte.

    Est-il nécessaire pour le patient de savoir comment est née la phobie, pour se soigner ? Non, ce n’est pas utile pour la thérapie.

    L’approche la plus rapide, la plus efficace, est de type « thérapie cognitive et comportementale ».

    La thérapie n’a pas pour but de faire disparaître la phobie, mais d’apprendre au patient à tolérer et accepter son anxiété.

    La plupart des difficultés du patient sont dues au fait qu’il essaye désespérément d’éviter des situations difficilement évitables. Le principe de la thérapie est l’exposition, au lieu de fuir la situation, il va falloir apprendre à l’affronter.

    Tout se fait progressivement. On fait des exercices respiratoires, de détente musculaire …

    Les médicaments peuvent constituer un contexte.

    Il est rare de guérir définitivement. La thérapie donne des ressources pour apprivoiser la peur.

    En moyenne la thérapie peut durer de 8 à 12 séances. Mais ce n’est qu’un ordre de grandeur. En effet, il n’est pas rare qu’il y ait d’autres problèmes sous-jacents et que la thérapie soit donc plus longue.

    Pour beaucoup de patients, la phobie est un problème personnel, intime, et le suivi individuel semble plus rassurant. Pour d’autres, le groupe permet de progresser plus vite.

    Pour le moment, il existe des programmes pour la phobie de l’avion, la peur du vide, les phobies sociales …

    L’hypnose peut, dans le cadre d’une thérapie de type cognitivo-comportementale, constituer un outil supplémentaire pour le thérapeute. Elle permet au patient d’amplifier sa représentation de ce qui fait peur, de le rendre plus réaliste.

    C’est l’utilisation maximale de l’imagination : on augmente la concentration du patient autour de ce qui lui fait peur, pour lui permettre de l’affronter dans le confort du cabinet du thérapeute.

    Depuis 2006, Brussels Airlines, avec l’Université de Gand, propose une formation de deux jours pour les phobiques de l’avion.

    LES PHOBIES

     


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  • AUTOMNE

    automne 2013

     

    Saison de nature sauvage et authentique

    Les forêts d’ocre, aussi de brun, de vert sombre

    Feuilles sèches parsèment le gazon rustique

    Les amoureux, main dans la main, marchent dans l’ombre.

    L’automne d’une femme est riche d’expériences

    Leurs cheveux cendrés, des archives du passé

    Au seuil de l’hiver, elle songe tout en silence

    Au livre de sa vie, ses projets insensés.

    Mais il restera toujours de belles années

    De nouveaux printemps fleuriront dans les vallées !

     

    automne 2013

     


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